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Quelqu'un que l'on entend parler - mais que l'on ne voit pas - parle d'un projet qui décrit les quatre moments clés de l'amour: la rencontre, la passion physique, les disputes et la séparation, les retrouvailles. Et cela à travers trois couples. Des jeunes, des adultes, des vieux. On ne sait pas s'il s'agit de théâtre ou de cinéma, de roman ou d'opéra. L'auteur de ce project est toujours accompagné d'un genre de serviteur.

Les adultes posent un problème. Contrairement à un vieux ou un jeune, un adulte est difficile à définir en lui-même sans raconter une histoire. L'auteur de projet rencontre une jeue femme pas comme les autres. En fait, ils s'étaient déjà vus il y a deux ans lorseque Edgar - l'auteur - avait par hasard assisté à des discussions entre des americains et les grands-parents de la jeune dame. Alsors qu'il vient dire à celle-ci que le projet va enfin se faire, Edtar apprend qu'elle est morte.

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Deux ans auparavant. Envoyé par Hollywood, un haut fonctionnaire de Washington propose à deux vieux résistants d'acheter leur histoire d'amour et de combat contre l'occupant nazi d'autrefois. Le grand-père a demandé à sa petite fille de vérifier le contrat.

Il s'agit de la même jeune femme vue dans la première partie. Edgar est là par hasard. Il est venue voir un hitorien, ami du grand-père - et lui pose des questions sur les catholiques et la résistance, Edgar ayant en chantier une cantante pour Simone Weil.

Tout s'accomplit en deux jours par des conversations des uns aves les autres. La vraie question est de savoir si une super-production américaine a le droit de s'emparer des légendes des autres.